Ora cá está um tema que eu há muito queria abordar. O que comer, o que não comer, existem ou não alimentos anti-cancerígenos? Há uns tempos comprei uma das "bíblias" anti-cancro, o livro de David Servan-Schreiber chamado precisamente "Anti-cancer" (Robert Laffont, 2010). Entre outros, advoga a importância de consumir alimentos provenientes da agricultura biológica, e a eficácia do alho, do açafrão-da-Índia (vulgo curcuma) na luta contra o cancro. Eu já gostava de curcuma, isto foi música para os meus ouvidos. Vai de botar curcuma em tudo o que é prato. Hoje li isto:
Des exemples particuliers ? Car on en trouve des dizaines, dans chacun des livres.
David Servan-Schreiber et David Khayat affirment que le curcuma est un puissant anti-cancer : « Mettez-en partout », suggère David Khayat. Et que son pouvoir est renforcé par le poivre. Cela n’a jamais été montré chez des gens, des êtres humains. Il est vrai que dans beaucoup de publications, on voit l’effet anti-cancer de fortes doses de curcuma chez des rats ou des souris auxquels on a injecté un cancérigène. Alors, ce qui marche chez les rats marcherait-il aussi chez l’homme ? Ce n’est pas sûr du tout.
Par ailleurs, il existe plus de 300 composés végétaux qui ont aussi un pouvoir anti-cancer chez les rongeurs [1]. Le curcuma est l’un d’eux, ni plus ni moins. Rien ne prouve que le curcuma soit mieux que les myrtilles, ni qu’il marche aussi contre les cancers "spontanés" des gens. C’est possible, mais c’est également possible que de grandes quantités de curcuma, éventuellement potentialisée par du poivre, aient des effets négatifs, voire toxiques. Certaines études chez l’animal montrent une toxicité du curcuma !
Portanto, ou estou a ajudar o meu corpo a lutar activamente contra o cancro ou estou a intoxicá-lo com curcuma. Bonito...